0024-MAG24 Dec - Flipbook - Page 13
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PROFIL LINKEDIN
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BDO FRANCE EN BREF
Activité : réseau de cabinets d’audit et conseil
comptable, expertise RH, juridique
Siège : Paris
Date de création : 2007 (BDO Global : 1963)
CA 2023 : 231 M€ (BDO Global :14 Md$)
Effectifs : 2 000 personnes (BDO Global : 115 000)
Périmètre : 50 bureaux en France
(BDO Global est présent dans 166 pays)
« Nous avons commencé par identi昀椀er les interfaces dont nous
avions besoin entre le CRM et l’ERP. Mais, avec Mulesoft, il faut
aussi bâtir une véritable architecture en amont », Christine Paurise,
DSI de BDO France.
plusieurs années. Dans le planning du plan de transformation, nous aurions été le goulet d’étranglement. »
La DSI a fait valider par le directoire de l’entreprise ce
projet pourtant di昀케cile à expliquer, justement en s’appuyant sur l’exemple de cette montée de version.
Et c’est là que l’intégrateur a été particulièrement utile dès
le début, car il dispose non seulement de développeurs,
mais aussi d’architectes. » Les deux entreprises ont ainsi
répertorié tout l’interfaçage 昀氀ux et data nécessaire, l’ont
cartographié, mais ont aussi déterminé la fréquence des
échanges, réalisé le mapping data entre les applications,
etc. Un travail d’autant plus important que, lorsque les
métiers ont constaté combien les échanges pouvaient être
昀氀uidi昀椀és, ils ont exprimé beaucoup d’autres besoins.
Objectif : disposer d’un SI homogène
Des développeurs sur mesure
Pour autant, l’installation de Mulesoft et le développement de l’interfaçage ont représenté quelques dé昀椀s non
négligeables et demandé un long travail de préparation.
BDO France, qui ne possède pas de compétences Mulesoft, a donc fait appel à l’intégrateur Salesforce français
iCom (acheté 昀椀n 2023 par KPMG) pour l’accompagner.
« Nous avons travaillé avec une équipe iCom [1,5 ETP]
et une équipe interne qui comprend le responsable des
développements, un recrutement et un contrat de professionnalisation », poursuit la DSI. Le premier dé昀椀 a
justement résidé dans le recrutement du développeur et
s’est dans un premier temps soldé par un échec. « Il n’est
pas si évident de trouver des développeurs qui acceptent
de coder avec Mulesoft, constate Christine Paurise. La
développeuse que nous avons d’abord embauchée a
trouvé que l’environnement était trop low code. Ce n’est
pas assez motivant pour un adepte du développement
pur et dur. Pour autant, Mulesoft n’est pas non plus
su昀케samment low code pour le con昀椀er aux métiers, par
exemple. » L’entreprise s’est 昀椀nalement réorientée vers
des pro昀椀ls de développeurs très intéressés par la data.
« Nous avons commencé par identi昀椀er les interfaces dont
nous avions besoin entre le CRM et l’ERP, raconte la DSI.
Mais, avec Mulesoft, il faut bâtir une véritable architecture.
En amont de cette adaptation de Mulesoft, BDO France
avait déjà remis à plat certains de ses processus, comme
l’entrée et la sortie des employés ou encore le cheminement du devis qui se transforme en mission avec la
plani昀椀cation des missions qui vont être facturées. [Lire
l’intégralité de l’entretien sur lemondeinformatique.fr]
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